éditeur : auto-édition
date de parution : 7 mars 2018
155 pages
prix : 10.00 €
Nikita, Keme et Lane forment à eux trois l'une des meilleures équipes de voleurs d'art. Élevé dans ce monde, Nik a grandi en apprenant les ficelles du métier par son père jusqu'à devenir le chef de sa bande. Taciturne, mal à l'aise avec le monde extérieur, il vit presque cloitré dans sa demeure familiale où il élabore les plans de ses prochains braquages. C'est lors du hold-up d'une galerie New Yorkaise, qu'une femme blessée va littéralement lui tomber dessus. Nikita va aller contre toutes les règles élémentaires de sa profession en la prenant sous son aile pour la soigner et tenter de comprendre ce qu'il lui est arrivé. L'homme au caractère sauvage envers les autres, saura s'adoucir pour raviver la mémoire de cette femme afin de trouver qui elle est.
Entre désir et vérité, le cœur du braqueur va devoir s'accrocher. Il apprendra à jongler entre les révélations et les secrets, entre son attirance pour l'inconnue et les responsabilités envers ses hommes qui le pousseront à prendre des décisions qui pourraient tout changer.
Miam la couverture ! Bon choix Maryrhage. J’admets, j’ai commencé ce livre sans avoir lu le résumé =D. Je savais que c’était une romance mais ma 1ère pensée fut : « dans quoi je suis tombée ??? »
Le livre commence avec l’héroïne, amnésique, blessée grièvement, plongée dans le noir avec un homme qui l’observe. Flippant non ? Puis les jours passent, l’homme devient Nikita (je ne suis pas fan du nom par contre) et sous ses airs d’ours mal léché, on découvre un homme froid mais tendre. J’avoue, j’ai fondu pour lui. Et puis, je tombe sur les mots «art » et « tableaux ». Trop bien ! Voilà un univers qui me fascine avec très peu de livres sur le sujet. En plus avec des bad boys, que demander de plus !
Je ressors comblée de cette romance. On a tout pour faire un roman passionnant. Un bad boy, une demoiselle en détresse (pas trop en détresse quand même), des scènes sexy et un méchant qu’on a envie de claquer. Le monde souterrain de l’art qui nous est décrit est une bonne idée pour rendre ce livre attractif.
Nik est très craquant. Cette façon qu’il a d’essayer de se protéger sans y arriver devant Elya est touchante. J’adore la façon qu’à Elya (très beau prénom en passant) d’interagir avec lui. D’abord méfiante (ça se comprend), elle apprend à l’apprivoiser. Et Elya a un sacré caractère ^^ une héroïne comme je les aime. J’aurais aimé plus d’approfondissement sur ce qu’elle ressent face à la domination sensuelle de Nik mais c’est la fan de roman sur le BDSM qui parle. La scène avec les sous-vêtements est trop drôle. On image tellement Nik à Victoria’s Secret.
Les deux amis de Nik m’ont aussi beaucoup intrigué et j’espère au vue de la fin que Keme soit le personnage du tome 2 !
Aucun commentaire