Génocides conte l'histoire de la plus inattendue et de la plus vraisemblable des invasions de la Terre par des extra-terrestres. Aucun humain ne vit jamais un des envahisseurs. Simplement, du ciel se mirent à pleuvoir des graines. La planète entière se-trouva réduite à l'état d'exploitation agricole, et les humains ramenés, presque le temps d'une saison, au statut d'insectes nuisibles. Survivraient-ils à cette rencontre d'un cinquième type ? Et dans quel état ?

Ce roman de Science-fiction est le premier roman de l’auteur Thomas Disch, qui date de 1970. J’ai été attiré par la très belle couverture de cette réédition et aussi par la 4ème de couverture. Je termine ma lecture mitigée !

En effet, l’écriture et le style de l’auteur sont vraiment bons, du coup, la lecture passe vite, mais j’ai trouvé l’histoire sans queue ni tête ! Dans ce monde décrit par Thomas Disch, des plantes immenses ont envahi la terre, pour qui ? pour quoi ? Elles ont tous détruits, il ne reste plus rien de la végétation, des animaux (a part les rats et les lapins) et des sphères qui arrivent pour tout brulé vif sur leurs passages.

Nous suivons donc un groupe d’hommes et de femmes qui arrivent à survivre sous la coupe d’Anderson, il régente ce qui reste de sa ville comme il régente sa famille, avec des règles à suivre. C’est un peu un dictateur même s’il fait quelques entorses à ses règles pour protéger ses enfants. Et attention, aux intrus qui passent par-là, ils ne feront pas long feu ! Sauf si vous pouvez lui apporter quelque chose comme Orville, un Citadin rescapé, qui est bien décidé à se venger d’Anderson et de sa famille.

Des hommes et des femmes qui tentent de survivre, de continuer de vivre mais où toutes les noirceurs de leurs âmes resurgissent, le frère qui fait une fixette sur sa plus jeune sœur, l’homme mûr qui va tenter de séduire cette même jeune fille, le père qui déteste cet homme mûr mais qui souhaite que cet homme lui reprenne le flambeau, la belle-sœur qui désir le frère de son mari, l’épouse apeurée qui attend un signe….

En bref : Un roman de science-fiction un peu barré, mais qui ne m’a plus emballé que ça. Il n’y a que l’écriture, le style de l’auteur qui font qu’on continue de le lire et l’espoir aussi d’en savoir un peu plus sur les plantes et les sphères qui mettent le feu ! Espoir déçu

NOTE : 5 / 10

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